Joséphine de Villeneuve - Ainée de la Chouette
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Date d'inscription : 14/11/2018
Célébrité : Kisa Hues
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Joséphine de Villeneuve
FEAT - Emblu
Informations
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Origines :îles britannique pendant l'âge du bronze.
Âge : Après deux millénaires, pourquoi compter?
Groupe:Vampires
Sexualité:Bisexuelle
Etat Civil:En union libre
Métier/Occupation: Aucun pour l'instant
Lignée:Aînée de la lignée de la Chouette.
Particularité physique:Porte un piercing au nez.
Caractère:Certaines personnes aiment à dire qu'il est facile de comprendre Joséphine de Villeneuve, qu'elle est probablement la moins complexe des originaires des lignées, voir même que sa nature volage peut tout à fait vous épargner la dureté d'un jugement, mais c'est là, bien se tromper. Joséphine est une créature hors du temps, il y a bien longtemps qu'elle a pris conscience du mot éternité et quand elle s'éveille, il est clair, voir même certain, qu'elle ne se formalise pas de son âge. Profiter de "la vie" voilà un étrange leitmotiv pour un vampire, non?
Qu'importe en vérité, puisque Joséphine jouit de l'immortalité comme d'une gourmandise, les siècles, le temps, ne lui sont pas si fatales que cela, mais elle aime plaire à ses frères, ses soeurs et ment pour eux, à moins qu'elle ne le fasse pour elle? La question est: souffre-t-elle de l'immortalité au point de ressentir le besoin de se coucher? Oui et non. Non car selon ses propres mensonges, elle pourrait évoluer indéfiniment, sans craindre le monde. Oui car au fond, il y a cette sensation de souffrance latente qui ronge son cœur. Mais Joséphine est une créature d'excès. Mais le mot exact est intense. Intense dans ses passions, ses actions, ses colères, ses disputes...être l'intime de Joséphine c'est vivre un tourbillon. Le diable au corps, la fièvre au cuir, elle dévore le monde, ses amant(e)s, son amour. Car oui, Joséphine aime. Mais lui a-t-elle déjà dit?
Bonne question. L'immortalité la fait souffrir quand elle la passe sans Lui. Et le temps lui parait trop rapide quand elle est en sa compagnie. Joséphine aime, mais elle ignore comment faire pour n'en aimer qu'un à la fois. Pourtant, il est Unique, mais elle n'a pas la notion d'appartenance, ou d'exclusivité. Non, Joséphine ignore ce que cela veut dire. Elle a traversé les siècles avec ce goût indécent de liberté, mutine, espiègle, intense, elle aime le sang, plus qu'aucun autre, aime l'étrange faiblesse des mortels, leur beauté nécrosée et leur bêtise sans nom.
Joséphine est un esprit libre, nymphe antique, se jouant des hommes et des femmes, sa présence apporte ce frisson délicieux de fascination, de l'observer évoluer et "vivre". Elle sait captiver, jouer de ses atours, et sa crinière est le feu qui fait trembler les vies monotones. Oui Joséphine aime à jeter son dévolu sur un mortel, au grès de son humeur, s'en délaisser...Une chose est certaine chez elle, elle parait volage, mais sous ses atours légers se cache un caractère qui peut s'avérer plus dur et cruel qu'aucun autre. Ne tenter pas le diable, Joséphine ne craint pas de punir, sans êtat d'âme. Peut-être est-ce le résidus de sa vie de Matriarche de jadis?
La vampire est une femme intransigeante devant la gravité d'un acte, et quoi que l'on puisse penser, elle sera la voix la plus dure d'une sentence. Joséphine ne supporte pas d'ailleurs l'irrespect sous quelconque forme, la violence gratuite lui est d'un ennui banal et l'injustice n'est pas dans sa nature. Chaque acte mérite ses conséquences...
C'est assez ironique de dire cela, quant on sait qu'elle est capable de mensonge, par jeu. Il faut dire qu'elle en a vu des jeunes vampires, curieux, intrigués, se rapprocher d'elle pour essayer d'en savoir plus. Et pour satisfaire les curiosités, elle a distillé divers possibles, diverses vérités, sur comment ils sont nés. Même sur sa venue au monde de la nuit. Peut-être parfois la vérité s'est glissée dans ses propos, peut-être parfois, elle n'a pas mentit, mais qui peut savoir? Lucius certainement...et si ses frères, ses soeurs discernent cette sottise d'un mauvais oeil, sa charmante nature veille à faire disparaître leurs désappointement.
Ainsi donc est Joséphine, virtuose du sang, créature intense, amoureuse du temps...
Âge : Après deux millénaires, pourquoi compter?
Groupe:Vampires
Sexualité:Bisexuelle
Etat Civil:En union libre
Métier/Occupation: Aucun pour l'instant
Lignée:Aînée de la lignée de la Chouette.
Particularité physique:Porte un piercing au nez.
Caractère:Certaines personnes aiment à dire qu'il est facile de comprendre Joséphine de Villeneuve, qu'elle est probablement la moins complexe des originaires des lignées, voir même que sa nature volage peut tout à fait vous épargner la dureté d'un jugement, mais c'est là, bien se tromper. Joséphine est une créature hors du temps, il y a bien longtemps qu'elle a pris conscience du mot éternité et quand elle s'éveille, il est clair, voir même certain, qu'elle ne se formalise pas de son âge. Profiter de "la vie" voilà un étrange leitmotiv pour un vampire, non?
Qu'importe en vérité, puisque Joséphine jouit de l'immortalité comme d'une gourmandise, les siècles, le temps, ne lui sont pas si fatales que cela, mais elle aime plaire à ses frères, ses soeurs et ment pour eux, à moins qu'elle ne le fasse pour elle? La question est: souffre-t-elle de l'immortalité au point de ressentir le besoin de se coucher? Oui et non. Non car selon ses propres mensonges, elle pourrait évoluer indéfiniment, sans craindre le monde. Oui car au fond, il y a cette sensation de souffrance latente qui ronge son cœur. Mais Joséphine est une créature d'excès. Mais le mot exact est intense. Intense dans ses passions, ses actions, ses colères, ses disputes...être l'intime de Joséphine c'est vivre un tourbillon. Le diable au corps, la fièvre au cuir, elle dévore le monde, ses amant(e)s, son amour. Car oui, Joséphine aime. Mais lui a-t-elle déjà dit?
Bonne question. L'immortalité la fait souffrir quand elle la passe sans Lui. Et le temps lui parait trop rapide quand elle est en sa compagnie. Joséphine aime, mais elle ignore comment faire pour n'en aimer qu'un à la fois. Pourtant, il est Unique, mais elle n'a pas la notion d'appartenance, ou d'exclusivité. Non, Joséphine ignore ce que cela veut dire. Elle a traversé les siècles avec ce goût indécent de liberté, mutine, espiègle, intense, elle aime le sang, plus qu'aucun autre, aime l'étrange faiblesse des mortels, leur beauté nécrosée et leur bêtise sans nom.
Joséphine est un esprit libre, nymphe antique, se jouant des hommes et des femmes, sa présence apporte ce frisson délicieux de fascination, de l'observer évoluer et "vivre". Elle sait captiver, jouer de ses atours, et sa crinière est le feu qui fait trembler les vies monotones. Oui Joséphine aime à jeter son dévolu sur un mortel, au grès de son humeur, s'en délaisser...Une chose est certaine chez elle, elle parait volage, mais sous ses atours légers se cache un caractère qui peut s'avérer plus dur et cruel qu'aucun autre. Ne tenter pas le diable, Joséphine ne craint pas de punir, sans êtat d'âme. Peut-être est-ce le résidus de sa vie de Matriarche de jadis?
La vampire est une femme intransigeante devant la gravité d'un acte, et quoi que l'on puisse penser, elle sera la voix la plus dure d'une sentence. Joséphine ne supporte pas d'ailleurs l'irrespect sous quelconque forme, la violence gratuite lui est d'un ennui banal et l'injustice n'est pas dans sa nature. Chaque acte mérite ses conséquences...
C'est assez ironique de dire cela, quant on sait qu'elle est capable de mensonge, par jeu. Il faut dire qu'elle en a vu des jeunes vampires, curieux, intrigués, se rapprocher d'elle pour essayer d'en savoir plus. Et pour satisfaire les curiosités, elle a distillé divers possibles, diverses vérités, sur comment ils sont nés. Même sur sa venue au monde de la nuit. Peut-être parfois la vérité s'est glissée dans ses propos, peut-être parfois, elle n'a pas mentit, mais qui peut savoir? Lucius certainement...et si ses frères, ses soeurs discernent cette sottise d'un mauvais oeil, sa charmante nature veille à faire disparaître leurs désappointement.
Ainsi donc est Joséphine, virtuose du sang, créature intense, amoureuse du temps...
Histoire
C'était il y a des temps immémoriaux, sur les terres britannique de jadis, perdus dans les forêts épaisses d'un monde qui vivait au battement de son propre coeur. Les hommes se reposaient sur Elle, celle qui marchait pieds nus et avançait vers les maisons pour soigner les souffrant. L'on disait que sa jeunesse était un cadeau de sa magie, qu'intemporelle, elle ne vivait que pour sa magie et que l'anneau qui ornait son doigt fin, était son mariage avec ses capacités. Ils n'étaient pas loin de la vérité.
En ce temps là, elle ne s'appelait pas Joséphine, son prénom, il était à peine prononcer, dans la liberté de sa maisonnée, au grès de ses baignades de rivières et de lac, personne ne savait la nommer. L’on disait que quiconque pourrait le faire, s’accaparerait la créature et sous ses idioties de rumeurs, le petit monde tournait. De son coven, elle était la seule que l’on connaissait, image bienfaitrice mais redoutable, on craignait la sorcière qui pouvait préserver votre vie, autrefois, les gens avaient éveillé le courroux d’une de ses ancêtres et avaient du en souffrir, alors l’on avait appris à la respecter.
Elle prodiguait les soins, veiller sur les gens, dispenser ses bienfaits, et offrait vengeance au cœur qui le méritait. Rien n’était blanc ou noir, mais une myriade de grisaille dont elle était juge, avec une impartialité étrange. Au lieu d’en avoir peur, le commun l’appréciait, la matriarche du Coven des Sangreal veillait sur son territoire avec une profonde justice.
Oui, elle se ressemblait déjà, impudique, libre, elle ne s’entravait d’aucune sorte. Les masculins sorciers qui partageaient sa couche n’étaient point conviés à s’y installer. Et dans sa liberté, son ventre s’arrondit. Un fils venait s’amuser à poindre le bout de son nez mais elle ne chercha guère plus la présence d’un autre, préférant encore se laisser porter par le monde et les saisons.
Joséphine raconta milles versions différentes de ce qui arriva après la naissance de son fils, comment le monde de la nuit vint à elle, de quelle façon elle se métamorphosa. Et personne ne sait encore tout à fait la vérité, personne ne la saura peut-être jamais. Il fallut cinq année, avant qu’elle ne s’éveille et retrouve Lucius, entièrement. Et là, le monde devient sien, ou presque. 4
Je pourrais vous raconter toute l’histoire de Joséphine, le temps qu’elle passa à s’amuser, jouer avec la nourriture dirait certain, mais une longue histoire est-elle réellement utile ? Permettez-moi d’en douter. Les autres naquirent eux aussi, en même temps, qu’elle ou presque et pendant des décennies, ils furent seuls, seuls ensembles parfois. La sorcière devint la vampire, elle se découvrit une famille et la famille s’éveilla aux lignées…
Le temps de la solitude fut terminée 100 années avant l’arrivée de celui qu’elle ne croisa personnellement jamais mais qui donna sa temporalité au monde, selon sa date de naissance. Ils créèrent une nouvelle vie. Une vie forte et nocturne, la race se propagea et Joséphine s’en amusa, au grès des survivants, avec un plaisir non dissimulé. Elle engendra les premiers infants de sa lignée selon ses humeurs et se sépara un temps des siens, même de Lui. Jusqu’à ce que le temps commence à se faire lourd et douloureux. Les Autres furent plus touché qu’elle, ainsi qu’elle le présente toujours, mais où était la vérité.
Et arriva ainsi la valse des torpeurs. Décidés et acceptés, il y eut la souffrance de la séparation…la seule véritable souffrance. Elle fut éveillée d’environ 600 à 900 ap JC, de 1300à 1600 ap JC et voilà qu’aujourd’hui son esprit revient à l’éveil. Après avoir écouté le monde vivre, depuis la torpeur d’une couche solitaire, Joséphine revient enfin.
En ce temps là, elle ne s'appelait pas Joséphine, son prénom, il était à peine prononcer, dans la liberté de sa maisonnée, au grès de ses baignades de rivières et de lac, personne ne savait la nommer. L’on disait que quiconque pourrait le faire, s’accaparerait la créature et sous ses idioties de rumeurs, le petit monde tournait. De son coven, elle était la seule que l’on connaissait, image bienfaitrice mais redoutable, on craignait la sorcière qui pouvait préserver votre vie, autrefois, les gens avaient éveillé le courroux d’une de ses ancêtres et avaient du en souffrir, alors l’on avait appris à la respecter.
Elle prodiguait les soins, veiller sur les gens, dispenser ses bienfaits, et offrait vengeance au cœur qui le méritait. Rien n’était blanc ou noir, mais une myriade de grisaille dont elle était juge, avec une impartialité étrange. Au lieu d’en avoir peur, le commun l’appréciait, la matriarche du Coven des Sangreal veillait sur son territoire avec une profonde justice.
Oui, elle se ressemblait déjà, impudique, libre, elle ne s’entravait d’aucune sorte. Les masculins sorciers qui partageaient sa couche n’étaient point conviés à s’y installer. Et dans sa liberté, son ventre s’arrondit. Un fils venait s’amuser à poindre le bout de son nez mais elle ne chercha guère plus la présence d’un autre, préférant encore se laisser porter par le monde et les saisons.
Joséphine raconta milles versions différentes de ce qui arriva après la naissance de son fils, comment le monde de la nuit vint à elle, de quelle façon elle se métamorphosa. Et personne ne sait encore tout à fait la vérité, personne ne la saura peut-être jamais. Il fallut cinq année, avant qu’elle ne s’éveille et retrouve Lucius, entièrement. Et là, le monde devient sien, ou presque. 4
Je pourrais vous raconter toute l’histoire de Joséphine, le temps qu’elle passa à s’amuser, jouer avec la nourriture dirait certain, mais une longue histoire est-elle réellement utile ? Permettez-moi d’en douter. Les autres naquirent eux aussi, en même temps, qu’elle ou presque et pendant des décennies, ils furent seuls, seuls ensembles parfois. La sorcière devint la vampire, elle se découvrit une famille et la famille s’éveilla aux lignées…
Le temps de la solitude fut terminée 100 années avant l’arrivée de celui qu’elle ne croisa personnellement jamais mais qui donna sa temporalité au monde, selon sa date de naissance. Ils créèrent une nouvelle vie. Une vie forte et nocturne, la race se propagea et Joséphine s’en amusa, au grès des survivants, avec un plaisir non dissimulé. Elle engendra les premiers infants de sa lignée selon ses humeurs et se sépara un temps des siens, même de Lui. Jusqu’à ce que le temps commence à se faire lourd et douloureux. Les Autres furent plus touché qu’elle, ainsi qu’elle le présente toujours, mais où était la vérité.
Et arriva ainsi la valse des torpeurs. Décidés et acceptés, il y eut la souffrance de la séparation…la seule véritable souffrance. Elle fut éveillée d’environ 600 à 900 ap JC, de 1300à 1600 ap JC et voilà qu’aujourd’hui son esprit revient à l’éveil. Après avoir écouté le monde vivre, depuis la torpeur d’une couche solitaire, Joséphine revient enfin.
Derniers détails
Pseudo:Camina
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