[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Origines :Monts du lyonnais, France, parents français.
Âge :37 ans
Groupe:Sorcier Fondateur
Sexualité:Hétérosexuel
Etat Civil:Célibataire à temps partiel
Métier/Occupation:Lieutenant de police
Particularité physique:N/A
Caractère: Je suis un grand amoureux de la femme et de son existence. Non, ce n’est pas tout ce que je suis, mais cela me correspond bien au quotidien. Je vous ai dit que j’étais célibataire à temps partiel. Ce n’est pas pour rien. J’aurai tendance à dire que je tombe sous le charme d’une jolie parie de jambes cinq à six fois par jour au moins. Pervers, vicieux, si vous voulez, de toute façon nous ne nous entendrons pas sur le sujet. Alors libre à vous de croire ce que vous voulez. Oui, je me fiche de votre avis et de l’image que je renvoie. Parce qu’elle n’a pas d’importance. Je sais ce que je vaux. Tout simplement.
En parlant de ce que je vaux. Je suis quelqu’un de travailleur et d’efficace. N’en doutez pas ! Parce que sinon je ne serais pas lieutenant de police à la Brigade Criminelle. Bon, d’accord, on me traite de loufoque, mais j’aime les cas spéciaux. Je trouve ça intéressant. J’aime beaucoup le principe de m’intéresser aux choses bizarres, parce que souvent, elles ne le sont pas pour moi. Mais bon, ça a fini par me couper la possibilité de devenir un jour capitaine, je pense. Parce que ce sont beaucoup d’affaires non résolues officiellement. Je ne peux pas dire que si ce suicide est un meurtre c’est parce qu’un Philosophe a forcé mentalement la victime…
Je ne suis pas quelqu’un de particulièrement érudit… en fait, je suis assez « inculte » selon la majeure partie des gens. Mais je m’en contente. Je n’ai pas besoin d’être sorti de la cuisse de Jupiler pour être un gars bien et sensible, aimant la beauté, n’est-ce pas ? Et comme ça je colle avec le cliché du flic pas très malin… ou pas. Bon, okay, c’est vrai que je suis plus du genre pompes et squats que bouquin au coin du feu… mais ho ! On a le droit d’aimer être en forme et aimer entretenir son corps, non ? Alors voilà quoi ! Surtout que bon, faut bien se défouler un peu, non ? C’est d’ailleurs pour ça que je pratique les arts martiaux depuis des années. Un esprit sain dans un corps sain. Du coup, salle de sport le lundi, Muay Thaï le mardi et le jeudi, et le vendredi, c’est resto.
Ah si, le resto hebdomadaire c’est un art à part entière ! Et ça entretient le corps de bien manger.
Et on ne dira pas que je n’ai pas le sens de l’humour

Je suis un Fondateur. Cela signifie que j’ai accès à l’utilisation des éléments naturel de ce monde pour manier ma magie… mais je ne peux pas me contenter de vous dire ça. en effet, je suis bien plus puissant que cela. Et bien moins en même temps. En effet, en entrant dans la police nationale, je me suis rendu compte que pour assurer la paix entre mes concitoyens et surtout entre les covens, j’étais bien mal équipé. Alors j’ai fait un choix. Plusieurs en fait. Qui m’ont permis de me spécialiser à l’extrême, me rendant très dangereux dans ces domaines, certes, mais qui, en contrepartie ont réduit mon champ d’action de manière plus que drastique.
En effet, mes pouvoirs étaient plutôt faibles, à l’origine, donc j’ai conclu un pacte. Deux en fait :
- J’ai passé un pacte avec Conflux, l’esprit de l’eau que se trouve à l’embranchement du Rhône et de la Saône. C’est lui qui régit la réunion des deux et qui a une grande influence sur eux. En somme, je suis devenu le gardien de la confluence entre les deux fleuves, me spécialisant dans l’eau, donc, mais cela a plusieurs conditions. Ainsi, je ne peux pas quitter la Métropole Lyonnaise, j’ai perdu toute capacité à utiliser le Feu, mes capacité sont réduites sous une canicule, et bien moins efficaces l’été que l’hiver, par exemple. Question de climat. J’ai aussi dû m’engager à respecter certains codes de conduite, notamment dans l’interdiction d’attenter à la vie humaine. Si je tue quelqu’un en utilisant mes dons, les conséquences seront plus que néfastes. J’en serais privé, d’abord, et si la mort concerne plusieurs personnes, je pourrais y perdre la vie. Ah et je dois vivre sur le fleuve. Donc je vis sur une péniche.
- J’ai aussi passé un pacte avec un vent local… enfin, j’ai essayé, mais tout ce qui a répondu, c’est un orage… en conséquence de quoi, je peux, au prix de ma maitrise de la terre comme de celle du vent, conjurer les orages et, tout particulièrement, la foudre, que je peux créer ex nihilo. Plus ou moins. Toutefois, ce n’est pas sans danger, car la foudre est un élément instable et dangereux, entre deux états différents. Je ne peux jamais la créer sans douiller. C’est ainsi… ah et j’ai dû promettre de rester au sol et de ne jamais envahir les espaces aériens, accessoirement…. Bon, ça se conjugue plutôt bien avec mes limites concernant l’eau, cela dit…

Je ne vais pas vous mentir, je n’ai jamais eu à me plaindre de rien. En fait, j’ai même eu une vie douce et légère. Mes parents étaient assez bohèmes, du genre un peu flower power, le capitalisme c’est le mal, etc. je ne vais pas vous dire que j’ai vécu des traumatismes, parce qu’au final, mes parents me laissant libre de tester plein de choses… du genre, ils ne me coupaient pas les cheveux pour que j’ai le choix, ils ne m’appelèrent pas à la fois Anthony, comme premier prénom, et Frederic, mon deuxième pour rien, pour que si voulais devenir Frédérique, ça ne me soit pas interdit.
A tous les reproches sur l’éducation qu’on a pu faire à mes parents, ils sont toujours répondus que l’école de la vie, ce n’était jamais que mes propres expériences. Sincèrement, je pense que s’ils avaient pu, ils m’auraient fait l’école à la maison… mais bon, les services sociaux n’ont pas laissé le choix. Selon eux, ce n’étaient pas des parents irresponsables, juste des parents en dehors de la réalité, tout simplement…ils pensaient que le cadre des enseignants serait mieux que pas de cadre du tout. Du coup, j’étais à l’école publique, forcé de me cadrer, et le soir en rentrant, c’était fiesta à la maison. Enfin, officiellement. Officieusement, j’aimais l’école… et si j’aimais l’école, alors je faisais ce qu’il fallait pou continuer à y aller. Et peut être que dans une famille normale, je m’y serais épanoui.
Mais ma famille n’était pas normale. J’étais et je suis toujours un Laval, nom de mon père, petit fils du Patriarche Fondateur, Henry Laval… et rien que pour ça, je n’aurais pas pu avoir une vie normale. Mon grand père était un très vieil homme, et mon père, son dernier enfant, qu’il avait eu alors qu’il avoisinait la cinquantaine. Autant vous dire qu’il faisait plus penser aux papys sentant le formol qu’aux papys dynamique, même si c’était encore quelqu’un à l’œil vif, malgré la chaise roulante.
Non que sa vieillesse l’ait rendu impotent… il avait sacrifié ses jambes pour contracter avec les collines avoisinantes… et il ne l’avait jamais regretté. Ce fut lui qui m’enseigna, regardant d’un œil noir ma mère qu’il jugeait responsable du laisser aller de mon père. Et je le comprenais un peu. Il me parlait beaucoup de mon père plus jeune, jeune homme droit, jeune homme plein d’avenir. Avenir qu’il considérait l’avoir vu gâcher avec cette femme. Parce que oui, dire son nom, ou dire que c’était mère était au-dessus de ses forces… donc c’était « cette femme ».
La famille Laval n’était pas nombreuse, mais respectée, disait-il, par les autres membres du coven, même çà l’international, et pour cette raison, il fallait que je sois à la hauteur, contrairement à mon père… il était toujours amer en parlant de lui.  Et mon père ne l’aimait pas davantage, mais il ne pouvait pas refuser au Patriarche de voir son seul petit fils (malgré ses huit enfants, mon père était le seul à lui en avoir donné, pour des raison diverses et variées. Donc il s’était mis en tête de m’apprendre tout ce qu’il aurait appris à tous ses petits-enfants. Transformant toutefois souvent cela en des jeux mêlant adresse et exercice physique à cela, comme si je faisais ce qu’il ne pouvait pas faire. Esprit sain et corps sain, Ying et yang, c’est ce qu’il m’a appris en premier, en fait, et c’est ce qui m’a poussé, j’avais huit ans, à m’inscrire dans un club de boxe thaïlandaise ou muay thai… j’étais un peu jeune, mais plein d’envie ! Un esprit sain dans un corps sain, et depuis son fauteuil roulant, il fut mon plus grand supporter le reste de sa vie.
Reste de sa vie quia arriva, j’avais quinze ans. Il avait les cent ans dépassés et il n’avait loupé aucun de mes combats jusque-là. Je crois que mes parents ne sont jamais venus me voir. Je crois que c’est comme ça que j’ai commencé à comprendre… et pour ça que j’ai fini par demander, à mes seize ans, le titre de mineur émancipé. J’ai continué à étudier, jusqu’à avoir mon bac. C’était le minimum syndical. Et j’hésitais, continuer ou arrêter… je me décidais à essayer de continuer. Et je ne savais pas dans quelle direction je voulais, jusqu’à me rappeler les paroles de mon grand-père. « Le mal commence par l’inaction des gens de bien ».
L’inaction des gens de bien. Eh bien je ne ferais pas cela. Je commençais commencer par faire l’armée, je m’engageais pour servir mon pays, agir en homme de bien. Oh, je n’avais pas un rôle important, non, j’avais un travail dans les transmissions. Pas de sniper, mais de première ligne. Chacun faisait ce pourquoi il était doué.
Jusqu’à ce que les migraines me terrassent. Je dus être rapatrié grand blessé. J’avais vingt cinq ans tout juste. Mes migraines étaient telles que j’en saignais du nez, comme des oreilles, et que j’en avais les yeux injectés de sang. La violence des maux de tête étaient tels que je fus longuement ausculté avant que finalement on ne vienne me prendre en main. Un inconnu. Pas un parent, juste le nouveau patriarche, que j’avais peu vu. Mais il prit la peine de m’aider à comprendre ce qui m’arrivait, il prit le temps de m’apprendre les bases pour que je puisse continuer seul. Et puisque j’avais été écarté de l’armée, je tentais autre chose… je m’inscris dans une fac de secondes zones. Il me fallait réussir trois années, tenir trois ans, et ensuite, la police.
Pourquoi la fac au lieu d’entrer directement ? Parce que, c’est con hein, mais je ne voulais pas être trouffion.

Donc oui, pour ne pas être trouffion, il fallait faire des études. Simple mais vrai. Du coup, bah je m’accrochais. Je ne vais pas vous mentir, ma License, comme mon concours, je les ai réussis à l’arrache ! j’ai été nommé inspecteur, mais genre de justesse… parce que ouais, les études, ce n’était pas mon truc, quoiqu’on pût dire… mais, j’ai réussi ! Fierté immense et déception. Clairement. Parce que j’aurai aimé que mon grand-père voit ça.
J’intégrais alors directement la brigade criminelle de Lyon. Non que ce soit mon premier choix, mais bon, je n’en étais pas mécontent pour autant.
Je commençais à travailler, et je commençais aussi à être approcher par une sorte de nouvelle société secrète, un peu étrange… il s’agissait d’un groupe de personnes qui s’étaient réunis sur impulsions des patriarches et matriarches des différents coven. Parce qu’il fallait une « police » neutre entre eux, pour éviter les massacres et les tueries, pour éviter aussi que le secret ne soit révélé… les chasses aux sorcières, c’était du passé. Et personne ne le voudrait. Alors ils me proposèrent de les aider. Quelqu’un dans les forces de police avait sans doute beaucoup de choses à leur apprendre, sans pour autant que je fasse parti de leur cercle fermé. Enfin, au début.
Il fallut que je résolve moi-même l’affaire dite du « noyeur » pour qu’enfin, on me propose d’intégrer le groupe.
Sale affaire que celle-ci. Le noyeur. On retrouvait des cadavres de personnes noyées mais sans aucune présence d’eau autour, hormis une flaque. Difficile de ne pas reconnaitre la trace de la magie, pour un initié. Bien sûr, officiellement, elle fut classée, cette histoire. Mais pour la police des coven, la chasse continuait et je manquais de crever… au point que, faible, je faisais la seule chose que je pensais intelligente. Un pacte.
Originellement, je voulais convoquer le vent et faire un pacte avec lui, alors, quand je commençais le rituel, je préparais tout pour que cela fonctionne… un rituel long, complexe. Et qui foira. En effet, nul vent ne répondit à ma demande. Un orage le fit, et je fus foudroyé.
Premier pacte avec un élément, et ce n’était pas un élément primaire. C’était un élément secondaire.  La puissance n’était pas la même. Et les conséquences ne furent pas non plus des plus simples. Mais je les subissais, faute de mieux, tout simplement. Je m’y plongeais et je tachais de résoudre l’enquête.
Nouvel échec… ce fondateur, responsable des meurtres, était d’une puissance colossale. Au point que je ne vis pas d’autre solution, tête de lard que j’étais, que de me renforcer encore, plutôt que de demander de l’aide… je préférais m’enfoncer encore plus… mais bon, que vouliez-vous… jeunesse, connerie, tout ça.
Je faisais donc un deuxième pacte. J’avais ouïe dire par mon grand père une légende. Que quand on voulait maximiser son pouvoir, il n’y avait que deux solutions : dompter l’océan ou trouver Conflux. Conflux était une légende, un esprit capable de fondre deux fleuves en un dans sa puissance. Ses eaux étaient remuées, agités, brutales, mais pourtant… pourtant, il n’y était jamais question de lutte. Tout n’était qu’une puissance unique acceptant son sort… c’était d’une beauté et d’une violence sans pareil. Je faisais donc la seule chose dont je me souvenais avec précision, c’étaient les paroles de mon grand-père sur le sujet : pour tout homme qui cherche le pouvoir, il faut se rendre au confluent de deux fleuves et s’y immerger jusqu’à s’y noyer. Sois Conflux le sauve, soit Conflux le laisse mourir.
Je m’y suis rendu, je m’y suis immergé, je m’y suis noyé.
Et Conflux m’a sauvé.
Autant vous dire que suite à cela, et malgré les conditions du pacte qui dépassait tout ce que j’avais pu imaginer, je ne fis qu’une bouchée de pain du noyeur… le laisser en vie fut par contre difficile. Mais c’était cela ou perdre mes pouvoirs… je ne le souhaitais pas…. En effet, même si j’avais gagné beaucoup de pouvoir et si j’étais encore relié à mon amulette, celle-ci était resté entre les mains de Conflux, au fond de la jonction.

Aujourd’hui, là où j’en suis, c’est simple. J’ai rejoint la police des covens, et plus encore, j’ai aussi dû me résoudre à vivre sur une péniche. Pire que tout, prendre ma coéquipière au sein de cette police – et de la police officielle, d’ailleurs – comme colocataire. En effet, ce n’est pas avec une paye de flic que l’on va loin !
Enfin bref, autant continuer le portrait que j’ai entamé de mon présent ! Alors donc, oui, je suis toujours dans les forces de police, toujours lieutenant malgré plus de dix ans de service, en même temps, j’ai trop les crimes non élucidés et les affaires bizarres, ce qui fait que je n’ai pas le meilleur des dossiers.
Tant pis. De toute façon, je m’intéresse plus à la police des covens et à mon principal loisir. En effet, outre le fait que je suis flic, j’ai continué le muay thai… aujourd’hui, je l’enseigne même aux gosses et ados, le mercredi, et le jeudi, quand je pratique le mardi et mes week-ends. D’ailleurs si vous regardez bien le tableau des médailles au dojo, vous verrez que j’ai été champion d’Europe pendant sept ans. Donc bon, le niveau est assez costaud hein !
Voilà où j’en suis. Bon, je voulais, je crois que ma colloc est en train de faire chier, faut que j’aille voir.

Pseudo:Tonio
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PHILIPPE LACHEAU – Anthony Garnier-Laval.

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•<a target="_blank" href="http://desangetdart.forumactif.com/u35"><span>Anthony Garnier-Laval</span></a> : représentant fondateur de la police intercoven

Bonjour et bienvenu !

C'était couillu de venir nous voir avec une idée comme ça sans en discuter avec le staff ! Pour être honnête, y avait 50% de chance qu'on vous fasse reprendre... ais vous restez assez flou dans votre fiche tous les deux ! Je vous contacterai par mp pour gérer avec vous le fonctionnement de la police inter-coven, et, purquoi pas, de votre intégraton à l'intrigue ! Enfin, avec ces persos, c'est un peu obligé !

Te voilà officiellement parmi nous! Si tu ne l'as pas déjà fait, je t'inviterais à remplir correctement les champs de ton profil, histoire qu'on aille pas vérifier milles fois sur ta fiche les détails. Tu as la possibilité de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. C'est à dire demander des rp/liens ou encore créer ta fiche d'évolution.

Je te conseille vivement de mettre le topic [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] en surveiller pour ne rien louper des informations nécessaires. Sinon au [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] tu pourras trouver tout ce qui te permettra de communiquer avec le staff ou le forum quand il ne s'agit pas de RP ou de flood!

Maintenant va donc jouer!!