De sang et d'art - RPG 18+
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De Sang
et d'Art

Forum interdit aux moins de 18 ans. Avatars réels 200*320 px. Pas de lignes demandées. Forum optimisé pour Chrome. Design par Carmina Box et Valcret. DSEDA est un forum écrit et réalisé par Lucius Chastel et Joséphine de Villeneuve, inspiré par Les Chroniques des vampires et la saga des sorcières d'Anne Rice. Merci de respecter notre création.Le forum a ouvert le 17/11/2018, 6 ans d'existence et porte son sixième design.Nous sommes à l'hiver 2015, intrigue 01 en cours.

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Ofelia Mancini - Lignée du Loup
Messages : 106
Date d'inscription : 19/04/2020
Célébrité : Yuriko Tiger
Ofelia Mancini
Dim 19 Avr 2020 - 10:11
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Ofelia Mancini


FEAT – Yuriko tigger


Informations

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Origines :Italie, 1355 Âge :660ans, physiquement 30
Groupe:Vampire
Sexualité:Bisexuelle
Etat Civil:Célibataire
Métier/Occupation:Propriétaire du Médicis (bar scène ouverte punk rock) / Co Gérante de la lignée du loup
Lignée:Lignée du loup
Particularité physique:Un tatouage au dessus du pubis à gauche représentant une croix catholique brisée
Caractère:Ah Ofelia…entendez d’abord son italien vif, sa voix chantante, l’éclat surprenant de la mélodie qui sort de sa gorge et son rire léger qui gagne ses lippes dans un magnifique sourire. Observez ensuite ses pupilles claires qui vous fixent d’un air de malice comme si elle vous connaissez par cœur, ne voyez que la facilité à l’abordée et appréciez…plus l’âge pèse sur son esprit, moins Ofelia fait cas du temps, refusant catégoriquement de devenir un être étrangement vieux et intouchable, à la limite de la connerie grabataire, elle préfère l’aisance, le sociable et ce genre de chose !
Ofelia ne s’en laisse pas compter pour autant, lui marcher sur les pieds ? Mieux vaut ne pas essayer, elle rentre dans le lard sans crainte, si elle respecte les ainés, elle ne fait pas non plus acte d’absolu soumission, dire ce qu’elle pense, parler et l’ouvrir la caractérise ! Ofelia est une des vampires les mieux adaptés au siècle nouveau et au monde des mortels, elle sait tout à fait comment se fondre dans la masse et presque passer pour une humaine, malgré sa présence et sa prestance qui donnent envie de la côtoyer, enfin, qui donne envie aux personnes qui sont proches de son univers et de son style : punk/rock.

Ofelia l’ouvre donc pour donner son avis, elle est capable de s’opposer non pas pour le plaisir mais parce qu’elle n’est pas de l’avis et est prête à entendre tous les arguments contres qu’on peut lui donner, et discuter. Son avis n’est jamais arrêté. Mais cela ne veut pas dire qu’elle n’en a pas. Elle est simplement apte à débattre voilà tout.
Il faut aussi savoir qu’elle aime que les choses bougent, s’activent, se fassent et évoluent. Si elle fut une profonde humaniste dans le lointain passé de son histoire, aujourd’hui,elle a plus tendance à juger le commun des mortels et se « moquer » légèrement de tous les points d’ancrages qu’ils peuvent avoir. Dieu et ses commandements par exemple, une lointaine Foi lui rappelle sans cesse qu’elle devrait avoir honte de penser ainsi : les hommes effrayés par leurs propres noirceurs se sont érigés un immense objecteur de conscience pour tenter, désespérement, de se faire violence, une sorte de fanatisme commun et moralisateur où un Immense et Tout Puissant Dieu juge tout par le travers d’autres hommes, tenant alors le tout dans un microcosme bien propre. Certes aujourd’hui la morale se change sous forme de justice et elle apprécie bien plus la chose, mais reste comme une vieille odeur de charogne mal enterré, le précepte de jadis : il voit tout et te juge, alors agis pour le bien ou le mieux…

Ofelia ne défend pas de grande cause, enfin pas selon elle, elle estime que ce n’est plus son rôle, elle estime juste faire ce qui lui parait le mieux, pour elle et son esprit. Elle aide les plus jeunes de son clan, prend défense des gens plus faible malgré elle toutefois. En tant que « sexe fendue » elle ne défend aucune cause féminine, mais elle estime qu’en tant qu’être encore pensant, elle n’a pas à supporter des dictacts qui lui surinent gentiment l’anus, comme elle dit. Femme oui, mais point docile et dévouée, disons qu’elle fera volontiers des choses par envie et non par obligation de genre. Bref, Ofelia est une femme avenante, dont l’esprit s’embrase aisément, mais qui ne se plie à aucune forme de rebellion, disons qu’elle est entière…et juste, en son sens seul et pas celui du commun.

Vivant une sexualité épanouie et personnelle, elle ne se formalise d’aucun réel attachement, pour le bien de tous, et du sien. Enfin, à peu près, mais ce sont des histoires bien personnelles qu’il n’ait pas besoin de faire entendre à tous.


Histoire

Angelo Correr serait né en 1325 à Venise. Pourquoi vous parler du Signore Correr dans l’histoire d’Ofelia ? Tout simplement parce qu’il s’agit de son père et que sa vie tout entière, sa vie de mortelle j’entends, subira les conséquences d’un tel parent. Angelo Correr était donc un homme d’Eglise, ambitieux et espérant bien finir sur le trône papal. Comme beaucoup d’homme de son époque et beaucoup d’homme d’église, il entretient une relation poussée avec une noble de sa paroisse, une certaine Emilia Visconti avec qui, il aura en 1355, une petite fille qu’elle nommera Ofelia.

Ce qu’il faut savoir, c’est qu’à cette époque, comme a beaucoup d’époque en vérité, le pouvoir est aux mains du clergé comme aux mains des nobles. Comme toujours, les indécences de la haute sont étouffés avec intelligence et presque facilité. C’est ainsi que Ofelia née Visconti, bâtarde de Angelo Correr, futur Grégoire XII naîtra dans le plus grand des secrets. Sa mère disparut en campagne, dans les riches terres familiales le temps de la mettre au monde, elle revint sans l’enfant laissé à une cousine religieuse qui se chargerait de l’éduquer et de la former à un avenir tout tracer : elle deviendrait religieuse du couvent des Sœurs de la Bienveillance, établie dans le nord de l’Italie. Elle pourrait y apprendre, ce qui n’était pas si mal, à prier, aimer Dieu, et soigner les nécessiteux dans une abnégation totale et résignée, le cœur voué à la beauté du Père et du Fils et du Saint Esprit.

L’important au final est que cet enfant ne vienne jamais salir l’élévation potentielle d’un Père qui, malgré l’abandon, choisis de connaître son enfant. Maintes fois, il se rendit, durant l’enfance de la petite au couvent, pour savoir ce que devenait la donzelle, maintes fois il fut ravi par ailleurs de la voir si intelligemment évoluée. Ofelia était une enfant fort peu sage, qui se rattrapait toutefois par son intellect vif et son besoin de connaissance. Elle apprenait vite, bien et récitait déjà son latin parfaitement avant ses six ans. Le soucis, c’était quelle posait beaucoup de question, sans jamais avoir de réponse claire, imperméable au mysticisme de la Foi, elle avait vite compris que faire l’effort d’y croire, pour son propre bien par ailleurs, ne serait pas un terrible maux.

C’est ainsi que l’enfant finit par oublier qu’elle n’y croyait pas. Dieu, ses chimères, ses saints et ses icônes, enfermée dans son monastère, elle priait, mangeait, travaillait dans un schéma perpétuel au vue de prendre le voile dés ses 13 ans révolus. Connaître le monde ? Fort peu pour elle, elle s’était convaincue.
Elle prit donc le voile à un âge fort jeune et finit par atterrir en tant que Sœur Maria, abandonnant son nom de naissance, dans un dispensaire de campagne où l’on traitait les grabataires et les mourant comme on le pouvait. Enfin, s’il n’y avait qu’eux. Les vieillards un peu séniles y finissaient, pour y crever dans une solitude crasseuse et parfois, on y abandonnait des enfants à peine nés.

Elle se plongea corps et âme dans l’accompagnement des défunts, priant, luttant pour la vie, priant encore et se laissant emporter dans une vague de religion dont elle ne se serait pas cru habité. Pourtant, dans cette fièvre ecclésiastique, il y eut une brisure. Je ne vais pas vous mentir, même dans les églises, les hommes ont une queue et savent s’en servir. De ce fait, autant être clair, la grandeur de l’âme est une chose qui vous parait inexistante face à ce genre de comportement.

Elle continuait d’être visité en toute sympathie par celui qui était son père. Sa cousine, qui l’avait aidé à grandir et devenir religieuse lui avait livré, à l’aube de ses vingt deux ans, la vérité sur sa naissance. Bien entendu, elle avait enjolivé les choses, joliment, pour qu’elle ne soit point décontenancé de n’être que fruit du péché. Par besoin d’avoir un repos éternel, la cousine avait donc révélé. Nom et vérité, sur ses origines. Sœur Maria, notre Ofelia de son véritable nom, s’était alors empressée d’écrire une lettre à sa mère, sans véhémence ni querelle : « Puisque je sais, pourrais-je vous rencontrer ? » Etait le thème principal de cette lettre.

Elle n’eut jamais de réponse. Elle ne chercha pas plus à en avoir.
Quand son Père vint la voir comme souvent, elle était prête à lui demander, lui qu’elle considérait comme un Saint après tout, la vérité. Il lui avait été dit qu’elle était le fruit d’un grand Amour hélas impossible car il avait certes cédé aux péchés de chair, mais il s’en était terriblement repenti et qu’elle était alors la preuve vivante de cette dévotion. Donc en gros : pour racheter son père, on l’avait mis au couvent. Ce qui n’était pas jouasse jouasse pour la demoiselle disons-le. Mais soit.

En voulant allez le voir, sachant qu’il était arrivé, elle n’attendit pas d’être appelée, elle se rendit tout bonnement à l’endroit où elle se devait de le trouver. L’idée, devinez-le, était mauvaise. Il était en compagnie de Sœur Rosa, une religieuse d’une bonne quarantaine d’année, un rien marqué par l’épuisement, mais qui avait, comme dirait beaucoup, de beau reste. Elle était la tête nue et le visage honteux, baissé vers le bureau alors que, sa robe relevée sur les hanches, elle était secouée de quelques mouvements bien précis, que le sieur Correr lui administrait. Surprendre la scène, entendre les sanglots de la jeune femme et les râles satisfait de l’homme d’église tétanisa Ofelia. Il parlait de sacrifice pour Dieu, un baratin innommable qu’un homme peut sortir, et la raison de tenir la chose secrète, sinon, elle serait excommuniée si on vérifiait, etc etc. Ce fut un choc tel pour la jeune femme, qu’elle fut incapable du moindre mouvement pendant plusieurs instants, toutefois, elle disparu livide, pour s’asseoir dans un recoin et attendre.

Si elle n’était pas naïve, elle n’avait jamais eu affaire aux choses du monde, des questions lui vinrent et quand elle fut reçu par son « père » elle ne lui posa aucune question. Préférant plutôt attendre que cela se finisse, elle crut remarquer ses airs libidineux, cette attitude pécheresse, ce manque certain de modestie, il était là, dans son rôle et il n’y avait plus rien de dévoué chez lui. Après un entretien de convenance, Ofelia se mit à observer le monde.

Avec plus d’attention, elle remarqua l’orgueil chez la mère supérieur et compris que la complicité chez certaine sœur n’était pas que de l’amitié profonde. Elle observa le riche marchand faire pression sur les autres et la toile du monde se tissa. Elle se souvint enfin qu’elle ne croyait pas en Dieu et qu’elle en avait assez de ce voile étouffant. Pourtant, elle ne quitta pas les ordres, Ofelia était bienveillante, elle ne voulut pas abandonner les malades et les vieux et se consacra plus férocement à sa tâche, essayant même d’enseigner un peu aux enfants qu’on leur abandonnait avant qu’ils ne soient envoyés en orphelinat.

Pendant cinq ans, ou plus, elle devint une femme acharnée, forte et déterminée, sa langue, elle ne l’avait pas dans la poche, et quand elle fit sa rencontre, elle ne l’eut pas plus que cela. Il l’avait, il le confierait plus tard, un peu observé auparavant, Frédérick se présenta donc. Il était un gentilhomme ou quelque chose comme cela, prompt à donner un peu de monnaie, pour aider. Souvent, il venait voir, le soir, comment les choses s’étaient déroulés et elle conversait en sa compagnie, sans faire d’énorme chichi. Ils discutaient beaucoup, rien de plus et rapidement les rumeurs se mirent à courir, désabusée, Ofelia manqua de peu l’excommunication sur le fondement erroné d’un lien interdit entre elle et le donateur. Refusant pourtant de lâcher l’affaire, Ofelia continua son travail jusqu’à ce que cela ne fusse plus possible, consciente du danger d’un réel procès d’Eglise, elle finit par suivre Frederick, qu’elle ne connaissait pas plus que cela, pour s’éviter du malheur, abandonner cette vie, lui fut douloureux.

Pendant quelques temps, Frederick prit soin de lui montrer la vie « normale », pour ainsi dire, il fut bienveillant et la poussa à s’initier à la vie normale, les choses et autres, comme un professeur. Un soir, après quelques temps d’amitiés et de bienveillance, il lui parla gravement d’un secret et d’un désir : il était un vampire et il voulait lui offrir le don obscur. Sa première réaction fut l’incrédulité, un rire, il lui prouva. La seconde fut la peur, elle lui jeta à la tête un objet à sa portée, alors qu’elle dévisageait ses canines, la troisième fut la curiosité, alors qu’il tentait de la calmer, elle demanda, ce que cela signifiait.

La nuit fut longue, éprouvante, il parla, lui expliqua, répondit, et dans tout cela, Ofelia accepta. Dieu n’étant pour elle qu’une obscure entité inventée, elle n’avait pas à craindre cette autre vie, qui lui permettrait au fond, de rattraper le temps perdu de trente ans de dévotion mystique. Elle accepta d’être transformée, hélas, Frederick du l’abandonner. C’est ainsi qu’elle le prit et qu’elle lui en voulu un peu. Non sans comprendre les obligations, elle saisissait qu’il n’en avait pas envie, de se coucher, mais dans ce cas, il aurait du la prévenir avant. Avant de devenir un vampire et même s’il la confia à son Infant, son « aîné » pour veiller sur elle et lui apprendre, il aurait du la prévenir, cela aurait bien moins fait de mal à la jeune femme.

Shi s’occupa d’elle donc, il était compliqué de le voir comme un Sire alors qu’ils avaient plutôt un rôle d’égal à son sens, ils étaient les infants de leur Sire. Pourtant, elle fit de son mieux pour faciliter les choses mais ce ne fut jamais réellement aussi parfait que si cela avait été son sire. Elle lui fut reconnaissante, pendant un siècle, avant qu’il ne soit temps de se séparer. Ce qui se fit assez rapidement et en 1485 elle se retrouva toute seule pour la première fois de sa vie. Car oui, jamais auparavant Ofelia n’avait été seule.

L’argent qu’elle avait appartenait à Frederick et à la lignée, elle était jeune et point encore décidée comme co-dirigeante, elle usa de l’argent pour apprendre et étudier, non pas tout, mais quelques notions, avant de s’intéresser à l’histoire qu’elle vivait. Si elle suivit le monde, elle s’intéressa rapidement aux vampires solitaires qui ne désiraient pas l’être, sans faire d’ombrage aux lignées, elle passa beaucoup de temps, en compagnie de divers vampires, elle s’installait aux alentours des grands moments, sans y prendre part, et vivait les choses en compagnie de…pendant une dizaine d’année, par exemple, elle résida à Paris, enfin, dans ses alentours pour ne pas être trop éloigné de Versailles et noua une longue amitié avec Roland Fronsac, un jeune vampire de la lignée de la Chouette, de cette amitié naquit des amours passagers, faisant de Roland un homme important dans l’approfondissement de ses goûts et lui révéla son appréciation de corps féminin. Ce fut après cette période, un rien débauchée, qu’elle vécut presque vingt ans en compagnie d’une mortelle qu’elle cacha au monde, une femme de près de 40 ans, veuve, qu’elle eut comme compagne jusqu’à sa mort suite à un accident de cheval.

Chagrinée, elle se coucha durant cinq ans, dans un lourd sommeil et dans le plus grand secret, avant de revenir au monde. Elle décida de ne pas rester seule et s’entoura au mieux de sa propre lignée, pour agir, vivre et exister, quand vint le moment du retour de Frederick, elle fut aux premières loges, heureuse de le retrouver, si bien qu’elle se chargea elle-même de le réveiller. Ou en tous cas, d’être présente pour cela. Elle fut peut-être un peu possessive les premières heures, elle lui reprocha deux trois fois de l’avoir abandonné vite, mais abandonna aussi rapidement la chose quand il lui consacra du temps. Pour que Shi ne se sente pas spoiler, elle fut raisonnable dans ces instants pour ne pas l’accaparer, mais elle décida de rester auprès de lui, autant que possible, histoire de rattraper le temps perdu et ainsi, par la force des choses, pris la même place que Shi. En soit, ils étaient égaux car nés du même Sire et tout cela se sentait car Frederick ne faisait point de différence entre les deux.

Ofelia se montra un rien cabotine en présence de son Sire et disposée à faire des petites disparitions en sa compagnie, rien de bien méchant, mais ce n’était pas « sérieux ». Et elle le comprit rapidement parce qu’elle n’aimait pas, en soit, laisser Shi gérer ou simplement plus derrière, elle décida de ne pas le laisser tout gérer seule et se montra tout simplement charmante et avenante. Ce n’était pas difficile, Shi avait toujours suscité chez elle quelque chose, mais elle s’était toujours tenu, ne le connaissant pas « réellement ». Il l’avait guidé, tant bien que mal, mais elle n’était pas son infant et cette étrange vérité avait formé une petite barrière qu’elle ne savait pas forcément comment franchir. Frederick s’en rendit compte et chercha adroitement à la faire tomber. Il vanta les charmes d’Ofelia à Shi et inversement vanta ceux de Shi à Ofelia. Les deux infants ne furent pas énormément dupes, à vrai dire,  ils en rirent en privé, même si au fond Ofelia regardait probablement Shi avec des yeux plus tendre qu’elle ne l’aurait souhaité. Ou pas.

Elle se rendit compte qu’il ne lui déplaisait pas, mais elle se convainquit de ne pas chercher à aller au-delà de tout cela, pour le bien de la lignée : en effet, leur sire avait indiqué qu’il souhaitait qu’elle prenne la main avec Shi sur la direction du clan. Ce qu’elle avait accepté. Ainsi donc, elle rangea ses pensées naissantes pour ne pas engendrer de potentielles mésententes s’il venait à ne pas avoir d’intérêt en retour, ou bien que les choses se finissent mal.

Ainsi donc, elle se retrouva co-gérante de la lignée et au fil du temps, devint un élément « phare » de la jeunesse vampirique, les infants nouveaux nés appréciaient de venir à ces lieux qu’elle établissait et quand elle finit, il y a dix ans par ouvrir un bar de scène ouverte, punk/rock, ce fut un lieu de prédilection pour les plus jeunes vampires. Travaillant en association avec Shi, le sommeil de son Sire la peina, il n’en avait pas envie et elle comprenait, mais ce n’était pas possible de refuser, un rien lasse de diriger la lignée, la proposition d’intégrer l’infant de Shi dans l’équation l’intéressa, peut-être que cela pourrait lui permettre de s’intéresser à nouveau à ce qu’elle a repoussé ? Qui sait…

Elle verrait bien !


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Pseudo:Carmi
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•<a target="_blank" href="https://desangetdart.forumactif.com/u65"><span> Ofelia Mancini </span></a> : co-férante de la lignée.
Lucius Chastel - Aîné de la Brume
Messages : 565
Date d'inscription : 14/11/2018
Célébrité : Colin Farrell
Lucius Chastel
Dim 19 Avr 2020 - 12:01
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Samuelle Corcia - Lignée du serpent
Messages : 121
Date d'inscription : 16/02/2019
Célébrité : Chloé François
Samuelle Corcia
Lun 20 Avr 2020 - 9:59
Bienvenue, de nouveau :)




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