De sang et d'art - RPG 18+
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De Sang
et d'Art

Forum interdit aux moins de 18 ans. Avatars réels 200*320 px. Pas de lignes demandées. Forum optimisé pour Chrome. Design par Carmina Box et Valcret. DSEDA est un forum écrit et réalisé par Lucius Chastel et Joséphine de Villeneuve, inspiré par Les Chroniques des vampires et la saga des sorcières d'Anne Rice. Merci de respecter notre création.Le forum a ouvert le 17/11/2018, 6 ans d'existence et porte son sixième design.Nous sommes à l'hiver 2015, intrigue 01 en cours.

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Shi Zhaolòng - Lignée du Loup
Messages : 74
Date d'inscription : 19/04/2020
Shi Zhaolòng
Dim 19 Avr 2020 - 10:10
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Shi Zhaolòng


FEAT – Tony Thornburg


Informations

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Origines : Bozhou, Anhui, Chine
Âge :Officiellement 37 ans / Officieusement 1791 ans
Groupe: Vampire
Sexualité: Hétérosexuel
Etat Civil: Officiellement célibataire, officieusement, c’est compliqué.
Métier/Occupation: Gérant d’un complexe de salles de jeux de plateaux/figurines/etc.
Lignée: Lignée du loup
Particularité physique: Rien de particulier
Caractère:(350 mots minimum) - "La patience est quelque chose d’important ; d’essentiel même, à mes yeux. Difficile de ne pas se trouver de la patience en 1800 ans, n’est-ce pas ? Bon, je n’ai pas exactement 1800 ans, mais je m’en rapproche. A mon avis et sans chercher bien loin, je pense être l’un des plus vieux infants de ce monde… je sais que nous sommes peu à avoir survécu aussi longtemps. Peut-être est-ce dû à une certaine force de caractère ? A des intérêts mortels plus prononcés que la moyenne ? Peut-être… ou peut-être pas… je ne sais pas. Je suis juste vivant et pas eux.
J’aime les mots et les paroles, avoir le beau mot, la dernière parole, c’est quelque chose qui m’a toujours beaucoup plus et j’ai toujours trouvé cela fort plaisant. J’ai toujours été le genre à me dire que tout a toujours été une question du beau mot employé. Parce que cette manière, avec le bon mot, on peut tout obtenir des autres. Généralement c’est « s’il vous pâlit », mais parfois c’est « dépêches-toi ». désolé, ; je plaisante. Mais j’ai toujours beaucoup aimé les poèmes antiques, d’où qu’ils viennent. Avec une certaine préférence pour l’art oriental, cela va de soi. Mes proches, lors de ma première vie, étaient férus de philosophie et de poésie, cela a déteint. A l’époque, être un homme d’arme ne signifiait pas juste tuer tout ce qui s’approchait, cela avait un sens plus profond, une éducation complète, et j’en ai de bons reste.  J’aime d’ailleurs composer, de temps à autres, un peu de poésie, un peu de calligraphie, même un peu de peinture. Mais si j’ai du talent pour écrire, pour peindre ou dessiner… disons que mon pinceau est très mécanique, sans la moindre once d’âme… je n’arrive pas à mettre de moi dans ce que je peins, tout simplement…
Mais ce n’est pas grave.

Bon stratège et excellent gestionnaire, j’ai été un homme de pouvoir pendant longtemps, et j’ai toujours aimé me sentir dans les bons cercles d’influence. D’un autre côté je suis fait pour ça. Je suis né dans cet univers décisionnaire pour un pays entier. Et j’avoue que j’aime, à plus petite échelle,  discuter avec les membres du conseil municipal, les députés locaux, etc. c’est toujours quelque chose que j’ai apprécié, les diners en bonne compagnie.
Grand amateur d’art, j’ai pour l’art asiatique et particulièrement l’art chinois une profonde admiration. Ainsi vont les choses. Oh je ne déprécie pas l’art occidental, juste que je le trouve…. Moins raffiné, même les tableaux de maitre. Oh, je les apprécie, mais ils ne valent pas les arts chinois… ce n’est pas une question d’être mauvais, juste d’être moins bien. j’ai toujours gardé cette fascination pour mes origines, et je ne manque pas d’y retourner à l’occasion, pour le plaisir de me retrouver dans mon ancien monde. Même si je ‘n’aime pas particulièrement la manière dont le pays est dirigé actuellement. Je préférais les aristocraties.
Chaleureux et plein de vie, je suis extrêmement abordable dans la mesure où je ne refuse jamais mon temps à personne et où je ne dédaigne personne. Ou du moins, si je les méprise, je ne le montre pas. Tout simplement.
Extrêmement curieux, j’aime découvrir les activités des uns et des autres, et je déteste me limiter à des a prioris. En fait, j’aurai tendance à dire que je leur fais la chasse, chez moi comme chez les autres.



Histoire

Mon nom est Shi Zhaolòng, aujourd’hui. Mais ce n’est pas mon nom d’origine, cela va sans dire. Je suis né en Chine, plus exactement à Luoyang, au milieu d’une fratrie de dix enfants. Joli nombre n’est-ce pas ? Et dire qu’aujourd’hui, on essaye de limiter le nombre, les temps ont bien changé… enfin bref. je suis donc né dans une famille noble et aristocratique. Plus encore, j’étais le premier fils de Sima Yi, un des hommes les plus influents de son époque, plus encore, il était le premier et principal ministre du roi de Wei Cao Cao et de ses descendants. Et il le fut sur trois générations. Outre ses capacités innées de gouvernance, c’était un général émérite, couvert de gloire et au sens tactique comme stratégique de premier ordre.

Et en tant que fils ainé, j’avais du travail : celui de devenir aussi bon que lui. En tant qu’héritier, mon père m’a très vite mêlé aux affaires d’autant que je gravis par moi-même les échelons des fonctionnaires du roi de Wei assez rapidement, montrant à tous mon talent. D’ailleurs, il n’était question que de vanter mon élégance, mon érudition, mon intelligence. Et bon nombre reconnaissaient que, contrairement à mon cadet, Sima Zhao,  qui arriva à de hautes fonctions pour des raisons qui échappaient tant à mon père qu’à moi-même. Sans doute une quelconque manœuvre politique de la part de certains adversaires pour que nous soyons discrédités… difficile à dire, mais peu importe. mon frère était un incapable.

Habitué aux rouages politiques, il fut bien vite évident que Père commençait peu à peu grapiller les pouvoirs du roi de Wei jusqu’à finalement, j’avais alors presque 30 ans, organiser un véritable coup d’état. Je commandais alors l’armée à cette époque, ou du moins, une portion suffisante pour que je puisse exécuter les desseins de mon père. Nous déposâmes le régent du roi de Wei, Cao Shuang et ce fut mon père qui devint régent du jeune monarque Cao Zhang, supposé devenir empereur de Wei… Notre famille accéda alors aux plus hautes fonctions, malgré la jalousie de certains. Et cela causa bon nombre de révoltes…

Mais les révoltes ne furent pas ce qui était le plus intéressant à cette époque. Je voyais mon père faiblir et mourir à petit feu. Vint alors le questionnement. Etais-je prêt à prendre la relève ? Je le pensais… mais je ne pouvais m’empêcher de douter, alors je me mis en quête d’un remède pour mon père. Je dépensais une fortune pour des remèdes qui ne fonctionnaient pas… jusqu’à ce qu’un étranger arrive. Il arriva une nuit sans lune à Luoyang, il s’invita chez moi en me promettant monts et merveilles. Toutefois, ce remède avait un prix sans commune mesure avec tout ce qui était imaginable… une punition éternelle…. Ne voulant pas risquer l’âme de mon père en vain, je le persuadais de me faire essayer cette « médecine » moi-même ayant de gros problèmes de vue me promettant une cécité avant d’avoir atteint la cinquantaine. Le convaincre fut âpre et long.
Père décéda quand je reçus le don obscur. Coup du sort sans doute.

J’accédais alors, malgré cette malédiction qui m’empêchait de voir la lumière au poste suprême. Régent de l’empereur de Wei qui devait bientôt atteindre son âge pour régner, ce qui était un problème, d’autant que lui et moi ne nous entendions pas. Et quand il commença alors à prendre ses aises, un peu trop, je le faisais remplacer par son cousin. Ce fut aussi simple que cela. Mais je ne pouvais régner éternellement et Frederick me fit prendre conscience que d’autres lieux méritaient d’être découverts. Et je commençais alors à voyager, le laissant m’initier aux mystères du monde qu’il avait à me montrer. Nous voyageâmes alors vers l’ouest. Sur notre trajet, nous inspirâmes d’ailleurs la légende du roi-singe blanc et de son voyage. J’étais le moine, il était le singe. Ce serait de notre périple largement romancé que naitrait, plus tard, le livre des pérégrinations vers l’ouest…
Bon, d’accord, ce serait moi qui le rédigerai, à la grande hilarité de mon sire.
Frederick plongea dans son premier vrai sommeil. Il avait préféré passer outre les ordre et s’était exilé en extrême orient. Il n’aimait pas l’idée de dormir et attendre son tour. Et c’est encore le cas. Trop d’énergie disait-il…

Il finit néanmoins à la fin de la période qui lui était alloué, par trouver le repos et je me trouvais seul. C’était le premier jour du calendrier Julien de l’année. Nous étions en 700 après Jésus Christ, je restais en royaume lombard de nombreuses années, m’isolant au sein d’un monastère pour étudier pendant presque vingt ans avant de le quitter pour me rendre dans ce qui allait devenir le puissant empire francs des carolingiens. Je regardais l’histoire se faire, pris d’un moment de lassitude et j’offrais le don obscur à un jeune maure, rescapé de la bataille de Poitier, qui me tiendra compagnie durant tout le temps que je passais au sein de l’empire carolingien et notamment quand je fus le conseiller de Charles premier. Puis je restais après son couronnement comme empereur d’occident avant de rejoindre les états pontificaux où je résidais avec mon infant quelques années. Enfin, nous mimes une expédition au point pour que je retourne en chine, j’avais eu fort peu de nouvelles, mais je savais que je voulais connaitre la suite de l’histoire de mon pays. J’y avais beaucoup investi, il fallait le reconnaitre.
Ma vie fut pendant longtemps, des siècles même, de fréquents allers et retours entre orient et occident. Et ce, jusqu’au XIVème siècle où une nouvelle aventure m’attendait.

Je revenais d’une longue période en Chine, j’avais passé bien trop de temps dans les palais mongols de Kubilaï Khan et de ses descendants, mais ce n’était pas grave. j’avais aimé le faste asiatique de cette époque comme nulle autre depuis la magnifique période des trois royaumes et du règne de la dynastie Jin fondée par mon neveu/. J’avais aimé cette période et j’aimais tout autant les manières des mongols civilisés par Gengis Khan et ses descendants. J’avais fait plusieurs trajets en compagnie de Niccolo Polo, de son frère, et de son fils. Des explorateurs et marchands particulièrement aimables…. C’est la fille, Faustina, du fils de Niccolo, Marco, qui m’offrit d’ailleurs par le biais d’un mariage qui ne dura pas, une belle propriété et des finances plus que décentes dans le commerce des routes de la soie. Mais bref, là n’est pas le sujet.

Les affaires fonctionnaient bien et je me préparais à une nouvelle expédition quand on vint me voir. J’avais deux choses qui m’attendaient – nous étions à l’aube de l’année 1344 – une lettre cachetée par mon saigneur et une croix catholique. La lettre était brève mais il m’expliquait qu’il avait trouvé une nouvelle perle rare et qu’en ces temps de grands changements, il voulait que je sois présent lorsqu’il lui donnerait le don obscur. Il m’avait fait apprêter des vêtements et une forme d’ordre de mission, je devais me rendre dans un cloitre et y observer une certaine Ofelia Visconti, sœur Maria. Et je devais, d’abord, donner mon avis à mon saigneur, puis lui offrir nourriture quand il aurait offert son sang à la nouvelle infant.
Ainsi ce fut fait. Ainsi naquit celle qui allait co-régente plus tard, la lignée à mes côtés.

Tout Sire aurait sans doute dû s’occuper de son infant, pourtant, à peine avais-je remis mes affaires en ordre et repréparé un nouveau voyage vers l’est qu’une nouvelle lettre et une messagère » me furent amenés. Mon Sire n’en refaisait qu’à sa tête, j’avais commencé à avoir l’habitude de son incapacité totale à s’occuper d’infant, avait décidé de me confier à sa nouvelle infant pour le siècle à venir, d’autant que s’étant déjà dérobé une fois, il ne pouvait pas, et il se rendormit, plus tôt que prévu, me laissant seul avec Ofelia. Je dus abandonner un peu l’idée de voyager et je me consacrais à être un sire de substitution, et à régenter la lignée du loup, fort heureusement trop peu nombreuse pour être trop difficile à gérer. En outre, j’étais le plus vieux et le mieux formé pour tout cela…. En effet si j’avais eu la chance de passer un long moment avec mon Sire, c’était davantage par coup de chance, il se cachait pour ne pas dormir, que par volonté de sa part… je fis ce que je pus avec Ofelia avant de la laisser, au bout du siècle jour pour jouer après sa transformation, aller par le vaste monde et voyager. D’une certaine manière, ç’avait été une épreuve… devoir imiter un Sire sans avoir le lien privilégié qu’ont un Sire et son Infant me semblait parfois un peu obscène, d’une certaine manière… mais je faisais comme je pouvais, pas tant pour mon Sire que pour Ofelia. J’aimais beaucoup Ofelia. Elle avait une vision du monde bien à elle qui la rendait plaisante par bien des aspects. En outre, elle était appliquée et très intelligente. Elle avait un esprit plaisant, avec une forme de… comment dire… de révolte intelligente ? Peut être… je ne savais pas trop… c’était étrange…

Je me contentais de voyager en Italie de ville en ville, pour garder un contact avec le monde, avec le conseil, et avec la lignée du loup. Je ne pouvais me permettre de passer des mois sur un navire en me coupant de tout cela.

En Europe, j’avais toujours beaucoup aimé la Vénétie et je m’y trouvais, dans une propriété Véronaise appartenant à un très bon ami, le peintre Francesco-Girolamo Monsignori. Un jeune homme très accueillant il fallait le reconnaitre et qui se servait de mes récits pour peindre de magnifiques tableaux. Peu amateur d’art pictural, je ne savais pas beaucoup l’apprécier, mais cela ne l’empêcha pas de m’emmener, un jour, profiter d’une de ses marottes idiotes. Une vente aux enchères, et si j’aimais l’art asiatique – et l’art ming tout particulièrement – l’art européen ne me paraissait que vaguement décoratif. Toutefois, certaines œuvres n’étaient pas sans me rappeler quelque histoire intéressante et ce fut devant une magnifique œuvre d’art. le pauvre homme avait commandé au peintre Sandro Botticelli une peinture pour un coffre de mariage. Le mariage n’avait pas eu lieu et en retour, il avait préféré se débarrasser du coffre magnifique en le mettant à vendrez aux enchères.

Et alors qu’une jeune femme semblait se complaire à l’observation tout ce qu’il y avait de plus simple dans cette peinture, je ne pus m’en empêcher et je donnais un avis plus poussé. Nous nous présentâmes, elle s’appelait Laetitia Sforza, comme les anciens ducs. Leur siège, la ville de Milan, était aux mains des Français actuellement était c’était un maréchal de France qui la gouvernait. Je faisais remarquer un détail symbolique, et partait dans les explications d’où devait venir l’idée de l’auteur de l’œuvre, puis je recommençais pour un autre détail, et peu à peu, les autres personnes nous laissèrent seuls. Je comptais l’histoire d’une œuvre et elle m’écoutait.  Le moment était aussi délicieux que la jeune femme qui se trouvait avec moi devant Vénus et Mars. Hautement symbolique, vous ne pensiez pas ?  Elle était belle, très belle, et avait des yeux du signe de l’eau. Très clairement. J’aimais ses yeux, ils étaient avides, plein de questionnement et je les gardais captif des miens pendant toute la conversation. Elle semblait captivée et je n’usais d’aucun charme pour cela. Je me contentais de sourire et de continuer mes histoires mythologiques. In fine, ni elle ni moi n’achetâmes quoique ce soit, nous discutâmes longtemps et je dérivais sur l’art asiatique, sur les merveilles de l’orient que j’avais vu de mes propres yeux.

Ainsi se passa notre première rencontre. Et elle revint me voir à Vérone, régulièrement. Une première fois, une deuxième, une troisième. Elle parlait moins qu’elle écoutait, mais je sentais une véritable passion. Les jours, les semaines, et les mois passant, ses visites se firent de plus en plus rapprochées, tout comme nos rencontres durant divers évènements du monde. Je connaissais fort bien les Visconti, ce qui favorisa ces retrouvailles aux évènements. Les choses se déroulaient et ‘j’avais commencé à envisager de lui offrir un peu de mon sang, au moins, et peut être, plus tard, le don obscur. Les résultats furent foudroyants. Elle abandonna tout. Famille, mari, tout, pour se consacrer à moi. Je n’en fis pas ma compagne, mais elle était amante et présente en ma demeure, comme une invitée qui s’éternisait avec mon bon vouloir, et quand je pris enfin ma décision, je lui apprenais les vérités me concernant. M’étant d’ores et déjà acquise, je n’avais que très modérément crainte qu’elle ne prenne peur. Mais elle fit son choix, de son plein gré et accepta le don obscur. Elle fut la seconde infant que je créais et la seule qui resta envie jusqu’à nos jours. Un siècle, voilà ce qu’elle me devait par principe – mais quel infant ne serait pas éternellement en dette vis-à-vis de son Sire – et nous passâmes ce siècle ensemble. Etant mon infant je pris bien plus à cœur son éducation vampirique que ce que je n’avais fait avec Ofelia. Non qu’avec cette dernière j’ai bâclé les choses, mais c’était différent. Par principe, j’étais davantage lié à Laetitia. Je pris même le temps de la faire voyager durant ce siècle, et je l’emmenais jusqu’en Chine où je lui montrais les merveilles que je lui avais tant vanté.

Elle émit à nouveau le désir de voyager et, une fois libérée de son siècle de « servitude » je la laisse explorer le monde, le découvrir, tantôt la croisant souvent, tantôt la croisant rarement. C’était très fluctuant mais Sire et Infant étant liés éternellement, elle finissait toujours par me revenir, tout simplement… je l’aimais bien ma petite infant aux grands yeux gorgés d’innocence… ce fut d’ailleurs entre autres pour cette raison que je l’invitais à me rejoindre au centre du monde, à Lyon. Non seulement parce que tout se jouait ici, mais aussi parce que, par désir de me décharger d’une partie de mes taches de régents, j’avais convaincu Ofelia, alors que Frederick venait encore une fois de s’endormir, de se charger de notre fardeau à tous les deux. Au lieu d’une régence à deux, l’idée du triumvirat était venue, une manière d’être sûr d’avoir toujours une majorité, mais les vampires assez vieux et assez puissants pour cela étaient trop rares . Frederick était du genre exigeant, il n’offrait le Don qu’une à deux fois par réveil… aussi, cela réduisait le nombre de candidats. Et j’avais proposé à Ofelia Laetitia, parce qu’elle serait, j’en étais certain, fiable…
Restait à lui faire la proposition et voir si elle l’accepterait…

Pourquoi moi-même n’étais-je ni en Chine, ni dans ma chère Vénétie ? Eh bien, pour être honnête… ce ne fut pas vraiment par choix personnel, mais plus par nécessité. Devant l’émergence des nouvelles technologies, il fallait raffermir le pouvoir que nous possédions d’une autre manière, et Lyon restait le centre du monde vampirique. et puis, il fallait que j’assiste à l’endormissement de Frederick, donc quitte à y aller… je me suis installé à Lyon. Je préférais éviter le tape à l’œil des quartiers trop riches. En fait, je préférais ouvrir une sorte de salle de jeu. Ma passion de la stratégie ne m’avait jamais quitté alors j’avais ouvert – près d’un lycée, une sorte de lieu où l’on pouvait louer des salles pour organiser des parties de grands jeux de figurine, de jeux de plateau, etc. Trouvant une véritable passion dans le travail des maquettes. ^petit à petit, on se retrouva même à vendre des jeux de stratégie.  Et des jeux de plateaux ou de cartes à jouer. Peu de jeux classiques, mais des jeux d’afficionados aux figurines peintes à la main, etc. mon esprit de stratège trouvait cela parfaitement adapté. Même si cela semblait enfantin. Mener des guerres pour le plaisir n’étant plus possible… c’était un peu comme un retour au source…
Je donne même des cours de stratégie militaire pour les jeux de figurine, pour ceux qui sont assez tarés pour ça… c’est dire.

Depuis l’endormissement du Saigneur du Loup, je me retrouvais donc à cogérer une Lignée avec Ofelia. Ofelia avec qui le courant passait bien. en effet, et ce malgré les tentatives plus que maladroite de notre Sire pour nous rapprocher. Et cela nous faisait beaucoup rire sous cape, tout en mettant un peu mal à l’aise. Mais heureusement, avec son endormissement, il cessa. Et une certaine forme de complicité était bel et bien là. Je mentirais si je disais que je ne couvais pas Ofelia d’un œil tendre de temps à autre. Je l’avais toujours beaucoup apprécié malgré le malaise. Et en incluant Laetitia dans l’équation, cela rendrait sans doute les choses moins bizarres, non ? Je ne nierai pas que c’est une partie e mon but en l’invitant à diriger avec nous…


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Lucius Chastel - Aîné de la Brume
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Lucius Chastel
Dim 19 Avr 2020 - 12:01
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Invité - Invité
Anonymous
Dim 19 Avr 2020 - 15:10
Mon cher Sire comme je suis heureuse de te voir enfin parmi nous pale pale pale pale
Samuelle Corcia - Lignée du serpent
Messages : 121
Date d'inscription : 16/02/2019
Célébrité : Chloé François
Samuelle Corcia
Lun 20 Avr 2020 - 9:59
Bienvenue, de nouveau :)




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